Un Plan climat pour Questembert communauté

Préservons l'environnement sur notre territoire
Infos projet Je m'informe sur le projet
S soutiens

Stop à L’élevage industriel!


Interdire toutes nouvelles installations et extension d' élevages industriels volailles et de porcs sur notre territoire,
A l'heure de l'urgence écologique et climatique, nous ne pouvons pas accepter ces projets qui détruiront un peu plus notre environnement. Favoriser l agriculture paysanne !

Informations sur l'idée soumise

Rubrique
Ico  Alimentation
Auteur
Utilisateur 00001754
Date
jeudi 15 octobre 2020 16:55
Soutiens
100 contributeurs
Commentaires
16 commentaires

Commentaires

Utilisateur 00001911
vendredi 16 octobre 2020 19:05
A l'heure actuelle, cela me parait une évidence
Utilisateur 00001912
vendredi 16 octobre 2020 20:49
100 % d'accord ! et réfléchir également à notre rapport aux animaux, ce sont des êtres sentients.... pas des biens de consommation.
Utilisateur 00001943
dimanche 18 octobre 2020 20:57
Qu'est-ce que l'agriculture industriel ? Qu'est ce que l'agriculture paysanne ? Il y a des lois nationales et européennes à respecter. Le choix revient au consommateur qui est souvent différent du citoyen. Ne pas oublier qu'un déficit de production française entrainerais des imports d'origine plus douteuses
Utilisateur 00001754
mercredi 21 octobre 2020 10:21
Argument bidon ,en Bretagne ont exporte 350000 volailles par jour vers l Arabie saoudite.
Utilisateur 00001995
mercredi 21 octobre 2020 18:17
ceux qui parlent d'agriculture paysanne et industrielle ne connaissent pas le sujet. pour moi , cela ne veut rien dire "agriculture industrielle"
il y a une agriculture conventionnelle et les circuits courts mais ce n'est pas la peine d'opposer les 2. il y a des consommateurs pour les 2 types d'agriculture et il ne faut pas faire l'amalgame facile entre agri conventionnelle et ne pas respecter l'environnement. les agriculteurs que je connais (conventionnels et bio) sont les plus grands défenseurs de l'environnement avec des pratiques culturales raisonnées et sont très concernés par le bien etre animal. Halte aux clichés et aux idées reçues...
Antoine
jeudi 22 octobre 2020 09:08
L'idée n'est pas de pointer l'agriculteur qui est, au final, en partie victime d'un modèle mis en avant par les institutions (Europe, PAC, gouvernement) depuis des décennies.
Par contre les citoyens et la CC de Questembert ont aussi le rôle d'accompagner les changements nécessaire aux problèmes que l'on connait...
Bien être animal : peut être que vos connaissances ne sont pas concerné mais des élevages ou les animaux ne voient pas la lumière du jour, n'ont pas d'espace, ça existe encore ! Après on peut mettre ce qu'on veut derrière "industriel" mais souvent les grands projets se soucient peu de cette question de bien être...
Environnement: les algues vertes ce n'est pas une légende, la mort des sols non plus, l'extinction de la biodiversité non plus, sans compter les rejets de CO2 associés...
Ces signaux, entre autres, ont un lien fort avec nos méthodes agricoles. Et malheureusement les consommateurs ne peuvent pas tout, QC a une rôle à jouer pour faire évoluer les choses mais par devoir d'exemplarité vis à vis des évolutions nécessaires.
Utilisateur 00001844
samedi 24 octobre 2020 11:55
Les positions exprimées dans les avis qui précèdent traduisent au minimum une crispation forte et beaucoup d'incompréhension entre une partie du monde agricole et le reste de la société. Cette crispation se focalise notamment sur l'usage des pesticides ou des néonicotinoïdes dont les effets néfastes sur la santé humaine, la biodiversité et l'environnement ne sont plus à prouver...
La critique de ces usages propres à l'agriculture industrielle soutenue par l'agrochimie est qualifiée par la FNSEA, le ministère de l'agriculture et bcp d'autres "d'Agribasching".

Pourtant La remise en cause du modèle agricole-industriel dominant ne consiste pas à dire que l'agriculture est mauvaise et que les agriculteurs sont bornés ou qu'on ne les aime pas, mais il s'agit de dire que le modèle (ou le système) est néfaste et qu'il entraine les agriculteurs et la société dans le mur. En effet il endette dangereusement les agriculteurs, continue à vider les campagnes de leurs paysans, pousse à l'agrandissement inconsidéré, rend inabordable la reprise par les jeunes des fermes de ceux qui partent à la retraite, pollue les sols et l'eau, détruit la biodiversité, dégrade la santé des humains et des écosystèmes. Inséparable de l'agrochimie, provoquant la spécialisation des territoires et la mondialisation, elle contribue au réchauffement climatique et est peu résiliente face aux chamboulements extrêmes qui se multiplient.
Des alternatives plus adaptées existent et sont crédibles. Il s'agit de l'agroécologie paysanne, le plus souvent en bio, qui lie agronomie et écologie, permet de vivre avec dignité, de transmettre les fermes tout en fournissant une alimentation saine. Cette agriculture peut redynamiser les territoires en créant de l'emploi local, du lien social, en préservant l'eau, la biodiversité (par ex. les polinisateurs), les paysages... et en privilégiant un commerce équitable respectueux des agricultures vivrières ruinées par la mondialisation et l'import-export.
C'est cette transition pour une agriculture du futur que le PCAET et les politiques publiques, du local jusqu'au niveau européen, devraient beaucoup mieux accompagner. Ce n'est pas vraiment, hélas, ce qu'annonce la nouvelle PAC en cours de négociation !
HG
Utilisateur 00001986
jeudi 29 octobre 2020 18:57
En accord avec les deux derniers intervenants, j'aimerais ajouter que l'agriculture dans son ensemble n'est pas à considérer seulement sous son angle commercial .Tout ce qui a un lien avec la nature et donc l'agriculture constitue un pilier indispensable au bon fonctionnement de notre société. Il est possible qu'une ferme de 1000 vaches soit plus rentable que celle de mon ami qui n'en a que 20 mais qui aurait envie de vivre dans un pays où la majorité des champs feraient plus de 100ha . Aujourd'hui déjà certains approchent les 1000ha !!......Tout ceci suppose bien sûr que les subventions PAC ne soient pas calculées à l'hectare mais à l'actif
Utilisateur 00002108
dimanche 1er novembre 2020 14:53
Oui à l'agriculture paysanne, non à l'agriculture industrielle dévastatrice: immenses champs délavés et pollués, énormes engins destructeurs de sols et dangereux sur les routes, soutenir une autre agriculture et aider les paysans pour qu'ils ne soient plus prisonniers de l'agro-industrie, des fabriquants de pesticides, des marchands d'infrastructures monstrueuses, d'usine à pseud-biogaz, inetrdictions des usines à gaz au profit de méthanisation à la ferme, contrôle des systèmes de financement qui étouffent les paysans
Utilisateur 00002165
mercredi 4 novembre 2020 08:58
la problematique a l'heure actuelle est que l'agriculture industrielle et que les riverains des ces installations n'ont aucune ecoute et aucun poids.....
ce qui compte est l'economie et les renvoies d'ascenseur ..... peut importe la qualité de vie et surtout la santé de ceux qui vie autour......
Utilisateur 00002347
mardi 10 novembre 2020 15:56
La consultation citoyenne est effectuée à un moment ou deux projets de poulaillers industriels gigantesques, l'un à la Vraie Croix et l'autre à Lauzach ont été approuvés par le conseil de communautés à la dernière réunion, au début novembre 2020 ( voir le pv sur ce site). Le grand nombre d'abstentions parmi les conseillers communautaires montre qu'il y a une prise de conscience. Elle est insuffisante. Il ne s'agit pas de bloquer toute exploitation moderne de nos ressources agricoles ni de priver nos agriculteurs d'un juste revenu, mais de préserver nos conditions de vie mais aussi la leur. L'odeur des poulaillers est pénible mais c'est ce qu'elle accompagne qui est plus grave pour notre santé . Par exemple les retombées d'ammoniac notamment. En regardant de près les dossiers déposés on y voit que, comme par hasard, les seuils de produits toxiques ou les degrés d'entassement des animaux sont justes en dessous de la norme qui durcirait les contrôles des autorités sanitaires. L'artificialisation des terres décidée pour ce genre d'investissement est définitive ( puisque personnes ne fait jamais appliquer les obligations de remise en état . Une autre agriculture est possible et rentable pour tous, au premier desquels ceux qui y gagnent leur vie.
Utilisateur 00001844
mercredi 18 novembre 2020 19:29
ai déposé une contribution qui va dans le même sens que la vôtre 2347 dans une thématique proche "élevage intensif" de cette plateforme
Utilisateur 00002360
mercredi 11 novembre 2020 16:53
Une évidence. L'heure est à la prise de conscience du rôle déterminant de notre façon de consommer.
Utilisateur 00002363
mercredi 11 novembre 2020 18:33
Je suis très défavorable à l'installation d'élevages industriels, aussi bien pour limiter la pollution environnementale alentours que pour le bien-être animal. Les exploitations de volailles industrielles sont pour moi l'expression d'un temps révolu. La prise de conscience d'une nécessité de changements dans nos modes de vie et de production a commencé. Il faut la soutenir et l'encourager. Je ne comprends pas que de tels projets d'élevages puissent naître aujourd'hui.
Utilisateur 00002377
jeudi 12 novembre 2020 14:56
On voit les dégâts qu'engendre ce genre d'élevage. Favoriser l'agriculture bio, dans des petites structures
Utilisateur 00002765
mercredi 18 novembre 2020 23:19
Combien d'entre nous achetons bio quotidiennement? Le comportement d'achat est très important entre les intentions et les actes, le prix est le principal indicateur. Ne sommes nous pas attiré par le prix? Je suis toujours surpris de voir que des gens parlent d'un sujet qu'ils ne maitrisent pas (moins on connait plus on en parle). Il y a déjà eu beaucoup d'évolutions, certes il faut encore. Les 2 systèmes sont indispensables.
S soutiens

Si vous aimez, partagez !

Propulsé par la plateforme participative
« Dites-nous tout »
Plateforme permettant la consultation et la concertation des acteurs d'un projet local pour une réussite démocratique
© 2018 - Nalisse Mentions légales CGU Création graphique David Michaudon